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NEXTHOPE et HP main dans la main contre les produits gris pour vendre encore plus cher à Madagascar

Un serveur HP ou un autre produit produit de marque HP n’est qu’un équipement. Ce qui est important est l’application qu’on va installer dans ce serveur HP ainsi que la garantie qui va avec. RANARISON Tsilavo, le gérant fondateur de la société NEXTHOPE qui a réussi à mettre en mandat de dépôt à Antanimora pendant 5 mois son ancien associé Solo , devient le porte fanion de la légalité à Madagascar. ça prête à sourire lorsqu’on arrive à mettre en prison son associé sans preuve.

Un produit informatique de marque CISCO  ou HP acheté à Dubaî ou au Brésil ou à Hong Kong est largement moins cher qu’un produit acheté par le canal informatique agréé local.  Le marché gris  ou grey market voit s’échanger des biens par des canaux de distribution qui, s’ils sont légaux, ne sont pas autorisés par le fabricant . En achetant  à Dubaî ou au Brésil ou à Hong Kong, le revendeur informatique malgache peut acheter moins cher le même produit, la loi de la concurrence oblige dans ces pays.

Pour la faire simple, le marché des produits gris (grey market) est un marché en parallèle du marché normal, celui qui passe  par les distributeurs agréés. Le marché gris n’est pas qualifié de marché noir  car il n’échappe pas aux réglementations des pays.
Le principe des reventes par des partenaires agréés est simple : les marques, CISCO ou HP, font signer des accords à leurs distributeurs dans les différents pays de la planète afin de leur imposer un certain nombre de choses, au nombre desquelles une visibilité pour leurs produits, un certain standing pour le point de ventes, des volumes minimum, un assortiment minimum), des exclusivités par rapport à d’autres marques, en l’échange de quoi, les marques fournissent un certain niveau de remise.

Maintenant, les marges que les revendeurs font sur les produits de technologie sont presque imposées par les marques. Certains revendeurs peuvent avoir du mal à respecter les volumes minimum imposés par les marques.
Du coup, certains autres revendeurs, non agréés eux, et dont la stratégie est de faire du volume au détriment de la marge, leur rachètent leurs stocks et les écoulent au prix qu’ils veulent, sans être membres du réseau de distribution agréé. C’est le marché Gris.
Enfin, les différences de prix public sur des marchés assez proches géographiquement peuvent encourager des revendeurs agréés à exporter très légalement (d’où le fait que ce ne soit pas du marché noir) mais contre les accords signés avec les marques (d’où le marché Gris) vers des pays voisins où les prix « imposés » par les marques sont plus élevés que dans leur propre pays, réalisant au passage une marge plus faible que s’ils avaient vendu les montres à des clients finaux, mais sur des volumes plus importants, et avec moins d’effort commercial.

Bien entendu, les marques font la chasse à ces circuits parallèles car cela les gène dans leur politique de distribution (qui consiste à s’octroyer des marges différentes selon les marchés vers lesquelles elles exportent pour que les prix finaux soient adaptés au niveau de vie du pays) et la sanction est le retrait de l’autorisation officielle de distribuer leurs produits.

Donc, l’achat d’un serveur ou d’un routeur au marché gris ne présente pas le moindre caractère illégal. Acheter un serveur ou un routeur au marché gris n’expose à aucun risque, ni son vendeur (pour peu qu’il soit en règle avec les lois du pays où il exerce son activité, mais ce n’est pas le problème de l’acheteur) car il a acquis le serveur ou le routeurlégalement, ni son acheteur pour les mêmes raisons.

Le marché gris  ou grey market voit s’échanger des biens par des canaux de distribution qui, s’ils sont légaux, ne sont pas autorisés par le fabricant . En achetant  à Dubaî ou au Brésil ou à Hong Kong, le revendeur informatique malgache peut acheter moins cher le même produit, la loi de la concurrence oblige dans ces pays.
RANARISON Tsilavo, le gérant fondateur de la société NEXTHOPE qui a réussi à mettre en mandat de dépôt à Antanimora pendant 5 mois son ancien associé Solo , devient le porte fanion de la légalité à Madagascar.

RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE, dit lors du procès au tribunal correctionnel du 8 décembre 2015

RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE, dit lors du procès au tribunal correctionnel du 8 décembre 2015

  •  ignorer ce que fait Solo des virements internationaux qui ont été envoyés à Solo
  • et RANARISON Tsilavo de rajouter qu’il a seulement reçu des ordres à propos des factures CISCO.
    C’est acté dans le plumitif du 19 janvier 2016 qui rend compte de  ce qui a été dit lors du procès du 8 décembre 2015. On ne l’a pas inventé.

« – Ireo vola izay afaran’i P (Prévenu = Solo) dia tsy fantatra izay anaovany azy
– Ordre no azoko momba io facture Cisco io »
– On ne sait pas des fonds que le prévenu demande
– J’ai reçu des ordres sur cette facture CISCO

Les virements ont servi à régler les achats de CONNECTIC comme RANARISON Tsilavo a lui même reconnu le 25 avril 2012.

RANARISON Tsilavo en établissant les comptes au 25 avril 2012 et on a montré et expliqué ce dossier lors du déferrement au substitut RATSIMBAZAFY Roger, pendant l’instruction au juge TAGNEVOZARA Hortense et  pendant le procès avec le récapitulatif établi par le plaignant lui-même.

L’email gmail de RANARISON Tsilavo du 25 avril 2012 a été authentifié par un huissier malgache et un huissier français,

il n’y aucune doute là dessus. On a le récapitulatif des envois de Solo à la société CONNECTIC authentifié par un huissier à Madagascar (Récapitulatif annuel des achats des équipements effectués par Mr Solo authentifié par le Huissier DAVID ci-dessous)   et en France (le même Récapitulatif annuel des achats des équipements effectués par Mr Solo authentifié par le HuissierNAM ci-dessus) .

C’est RANARISON Tsilavo lui même qui a établi le récapitulatif du 25 avril 2012 et ce sont le corps de l’email et les fichiers attachés qui ont été authentifiés.

Heureusement que c’est un email Gmail inviolable car sinon RANARISON a commencé a semé les doutes de la chaîne pénale en disant que Solo peut  modifier les contenus des emails car il est l’administrateur des serveurs d’emails.

Lorsqu’il dit qu’il a reçu de l’ordre pour émettre des factures CISCO,

on va lui rafraîchir son mémoire avec cet extrait de son email du 3 mars 2009 qui dit

« je fais la facture de suite
20 000 € de IOS »

l’IOS pour les profanes est la licence CISCO. C’est RANARISON Tsilavo qui a fabriqué les factures supposées dites fausses par Solo et en plus il a le culot de demander à la Société CISCO de certifier si oui ou non EMERGENT peut vendre des licences.

RANARISON est l’auteur des factures et c’est lui-même qui attribue comme libellé de la facture lemot  » IOS » et qui ose après écrire à CISCO si EMERGENT a le droit de vendre des IOS. Pire que le petit Poucet en mal qui laisse des traces partout et essayer de manipuler à tout va.

Solo dit tout haut au tribunal  : « je prends comme honneur le fait d’avoir été  emprisonné »

Lors de son procès à son sens unique du 8 décembre 2015, Solo a dit tout haut et c’est acté dans le plumitif  :  » je prends comme honneur d’avoir été emprisonné ». car il ne faut pas oublier que Solo a déjà passé 5 mois de détention à Antanimora  pour éviter qu’il puisse se défendre normalement.

On ne cède pas au chantage et il faut que ça soit dit haut et fort et en public

« Amiko dia raisiko trophée ny nidirako am-ponja »

On ne va pas tout de même accepter l’injustice en se laissant dépouiller sans rien dire.

L’extrait du plumitif du 19 janvier 2016 pour éviter toute manipulation

Chacun peut donc juger également que dans un dossier où Solo a donné toutes les explications au juge  et le juge a été  capable de dire qu’il a toutes les preuves de la culpabilité de Solo.
Il faut vraiment oser pour condamner Solo à 2 ans de prison avec sursis et 1,5 milliards de dommages et intérêts à payer à RANARISON Tsilavo.

On ne va pas tout de même accepter l’injustice en se laissant dépouiller sans rien dire dans un procès à charge en sens unique

La justice à Madagascar c’est comme la Sainte Vierge. Si on la voit pas de temps en temps, le doute s’installe

Cette célèbre réplique est d’Audiart dans le film « Pile ou face » est valable pour ce dossier hors normes de Madagascar. Comment se fait il qu’une plainte  pour intrusion informatique et écoute téléphonique à Madagascar, chez CONNECTIC,  se termine par la mise en mandat de dépôt du plaignant, de Solo patron de CONNECTIC, pendant cinq mois à Antanimora puis après sa  condamnation en première instance puis en appel à 2 ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 d’Ariary (1 milliard 500 millions) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, ancien directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012.

Solo porte plainte pour intrusion informatique, l’affaire est jugée en appel à Antananarivo en juillet 2015 et sans crier gare, Solo a été mis en mandat de dépôt pendant cinq mois à Antanimora trois semaines après avec par pur hasard les acteurs de l’intrusion information en rôle principal ou en tant que témoins, notamment RAHARISON Gisèle et RAKOTOARISOA Lyna. On peut s’attendre à tout à Madagascar, mais avoir le culot et oser faire cette tour de magie nous laisse dubitatif.

Ainsi quatre fois, avec des preuves en main, la justice malgache a sorti des des des jugements sans fondement. La justice malgache  ?  Il ne faut pas surtout exagérer et faire une généralisation  ; ce sont plutôt le tribunal de première instance d’Antananarivo et la Cour d’Appel d’Antananarivo. La Cour Suprême de Madagascar a fait une requête pour pourvoi dans l’intérêt de la loi  le 20 septembre 2016.qui supend toute la procédure.

Pour le procès de l’intrusion informatique et écoute téléphonique, malgré les preuves, les personnes  qui ont été poursuivies par le Doyen des Juges d’instruction  par ordonnance de renvoi au Tribunal ont bénéficié du bénéfice de doute en première instance et en appel, alors que l’appel a été effectué par le Ministère public lui même et qui a bénéficié du revirement du Ministère public lors de l’audience : l’avocat général est devenu l’avocat des poursuivis. Il faut avoir vu et entendre pour y croire. Ainsi RAHARISON Gisèle le contact de DATALINK ,propriétaire de l’adresse IP qui a permis d’entrer dans le système informatique de CONNECTIC, ancien salariée gréviste de CONNECTIC ainsi que ANDRIANARIVO Antra, ancien gréviste de CONNECTIC puis salarié de DATALINK et de DATALINK ont bénéficié le bénéfice de doute. SOIENT deux jugement de relaxe alors que l’enquête a été mené par le Doyen des juges lui même.
Même chose pour la plainte avec demande d’arrestation de RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, avec des fausses allégations, il a réussi à mettre Solo en mandat de dépôt à Antanimora pendant cinq mois, toutes les demandes de liberté provisoire (LP) ont été refusées pour enlever ainsi à Solo la possibilité de défendre puisqu’il a été arrêté le jour de son départ en France pour rejoindre sa famille. Le procès en première instance et en appel se soldent par la condamnation de Solo à deux ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 d’Ariary (1 milliard 500 millions) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE. La condamnation de première instance n’est pas assortie de motifs, celle de la Cour d’Appel d’un motif qui contredit la traduction en française de l’attestation produite par RANARISON Tsilavo provenant de CISCO. Il n’est pas normal que les magistrats de la Cour d’appel d’Antananarivo n’ont pas demandé le traduction hors normes de cette attestation.

Heureusement qu’il y a la Cour Suprême de Madagascar qui a donné raison à Solo en faisant une requête de Pourvoi dans l’intérêt de loi (PIL) le 20 septembre 2016.

La réplique d’Audiard a toute sa place « La justice c’est comme la Sainte Vierge. Si on la voit pas de temps en temps, le doute s’installe. » Dans ce dossier, tout le monde est d’accord qu’il se passe des choses innommables à la Cour d’appel d’Antananarivo. On va essayer de faire une chronique à travers ce blog.

Trouvez vous normal qu’une personne qui a fait l’objet d’un délit, celui qui a porté plainte pour intrusion informatique se retrouve en mandat de dépôt pendant 5 mois à Antanimora et condamné 2 ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 d’Ariary (1 milliard 500 millions) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE.

 

 

RANARISON Tsilavo dit le 3 mars 2009 « je fais la facture de suite 20 000€ de IOS  » donc il ne peut pas nier que c’est lui qui a établi les factures des produits CISCO

Le 3 mars 2009, RANARISON Tsilavo envoie un email à Solo qui dit :
« je fais de suite
20 000 € de IOS »

C’est sans équivoque cet email de RANARISON Tsilavo directeur exécutif de CONNECTIC du 3 mars 2009 envoyé à Solo :
– l’email a été envoyé et reçu du GMAIL de GOOGLE , la référence en la matière,
– Un IOS est la licence ou logiciel à télécharger de CISCO,
– « je » veut dire « moi », comme l’expéditeur est RANARISON Tsilavo, il ne peut donc s’agir que de lui, RANARISON Tsilavo,
– « je fais la facture », donc c’est lui RANARISON Tsilavo qui va faire une facture au nom de EMERGENT nécessaire au virement international à CONNECTIC.
– Quoi d’autre comme preuve pour dire que c’est n’est pas Solo qui a fait des fausses factures,

 

C’est RANARISON Tsilavo lui-même qui a établi les factures des produits CISCO, base de la motivation de la plainte pour faux et usage de faux

« Qu’ainsi, les factures établies par la société EMERGENT sur la base des produits CISCO sont réputées fausses » : motivation de la cour d’appel d’Antananarivo

 

RANARISON Tsilavo a essayé de dire auprès du juge d’instruction ainsi que lors du procès qu’il est capable de modifier ou qu’on peut modifier un email.

Peut être que les emails qui sont hébergés par NEXTHOPE dont il est le gérant fondateur peut être modifié  comme il le dit lui même.

D’autant plus que NEXTHOPE est partenaire VMWARE, NETAPP, EMS, ODOO, en gros tous les acteurs majeurs des systèmes hébergés.

Que ne fait on pas pour mettre en mandat de dépôt pendant 5 mois son patron ?

On nous dit que c’est une pratique très courante  à Madagascar de se faire accaparer sa société par les employés.

Et après on va claironner partout que c’est du succes story de l’Inscae.