Archives de catégorie : RANARISON Tsilavo

Les intervenants de la justice malgache au service de RANARISON Tsilavo

Madagascar, des magistrats violent les lois pour favoriser RANARISON Tsilavo
  1. LES INTERVENANTS DE LA JUSTICE DANS CETTE AFFAIRE

RANARISON Tsilavo maîtrise très bien la Cour d’appel d’Antananarivo pour réussir à emprisonner Solo pendant cinq mois à Antanimora, son ancien patron et associé malgré toutes les preuves  vérifiables et authentifiées qui ont été expliqués à toute la chaîne pénale malgache. RANARISON Tsilavo a également réussi à se faire attribuer des dommages et intérêts de 1 milliard 500 millions d’Ariary que les magistrats tant en première instance qu’en appel n’arrivent à justifier le mode de calcul.

 « Dans un Etat de droit, on reconnait  l’importante et le rôle de la justice et quelques fois certains justiciables  malheureusement éprouvent  un certain sentiment de  méfiance à l’égard de la justice qui fait l’objet de critiques de la part des citoyens, des hommes politiques, des représentants su secteur privé et même des bailleurs de fonds. Heureusement, je dis bien heureusement  qu’il y a des juges intègres et expérimentés à Madagascar dont la plupart ont été formés à l’Ecole nationale de la magistrature et des greffes »
MAHAFALY Solonandrasana Olivier – Premier ministre de Madagascar
12 octobre 2016 – Célébration de la XX ème année de l’Ecole Nationale de la Magistrature et des Greffes (ENMG)

 

LES INTERVENANTS DE LA JUSTICE DANS CETTE AFFAIRE

  • soit-transmis-pgca RANDRIANASOLO Jacques : Procureur Général près de la Cour D’Appel d’Antananarivo (PGCA), a reçu la plainte avec demande d’arrestation déposée par Maître Fredon Armand RATOVONDRAJAO daté du 20 juillet 2015,plainte-ranarisontsilavo a fait un « Soit Transmis  » à la Direction de la Police économique le 21 juillet 2015 soit-transmis-pgca et a ensuite transmis les résultats de l’enquête au Premier substitut, RATSIMBAZAFY Roger. Une plainte peut donc être transmise une journée après pour enquête à Antananarivo.
    Alors que la loi malgache est claire sur ce point : pour éviter l’empiétement des pourvois des membres du Ministère Public qui pourrait être interprété par les justiciables comme une manifestation de prise à partie ou à l’origine d’une suspicion légitime, le Code de procédure pénale a consacré des dispositions spécifiques aux attributions respectives du Procureur Général près de la Cour d’Appel et du Procureur de la République concernant la recherche et la poursuite des infractions.
    Ainsi, l’article 161 a désigné le Procureur de la République comme étant l’autorité habilité à recevoir les plaintes et les dénonciations et à apprécier la suite à leur donner. Ce qui signifie que le rôle de procéder ou de faire faire procéder à tous les actes nécessaires à la recherche et à la poursuite des infractions est dévolu au Procureur de la République et ses substituts.
    Dans le cas présent, la réception de la plainte ainsi que l’appréciation de la suite à y donner a été exercée directement par le Procureur Général près de la Cour d’Appel. Dès le 29 juillet 2015 à 20 heures, le jour de l’emprisonnement à Antanimora de l’investisseur cible de la spoliation, une suspicion légitime est née.
  • Déferrement de Solo le 29 juillet 2015 à 9 heures avec le dossier établi par la Police économique,
  • RANARISON Tsilavo Tsiriniaina propose un second protocole d’accord comme quoi l’investisseur cible de la spoliation abandonne toutes les poursuites dont notamment l’affaire de l’intrusion informatique en contre partie d’un abandon de plainte : Solo a bien fait de décliner cette proposition qui ne sert à rien car le Ministère public peut toujours poursuivre.
  • RATSIMBAZAFY Roger : Premier Substitut au Tribunal correctionnel de première instance d’Antananarivo le 29 juillet 2015 à 10 heures a requis un Mandat de dépot dans son réquisitoire introductif malgré les explications, les preuves écrites et surtout le rapport de la Police économique. Sans rire, RANARISON Tsilavo Tsiriniaina affirme qu’IL sait modifier le contenu des e-mails Gmail de Google puisque c’est l’investisseur cible de la spoliation qui est le gestionnaire. Ce propos est confirmé dans le procès verbal d’interrogatoire avec le juge d’instruction. En son âme et conscience, il a osé poursuivre Solo et a fait copier-coller de l’acte d’accusation de RANARISON Tsilavo.
  • TAGNEVOZARA Hortense, Juge d’instruction, a entendu l’investisseur cible de la spoliation à 14 heures puis vers 20 heures, le 29 juillet 2015, en son âme et conscience, malgré les explications et les preuves écrites, a mis l’investisseur cible de la spoliation en mandat de dépôt. L’investisseur cible de la spoliation sera confiné à Antanimora pendant 5 mois pour la recherche de la vérité. On lui a montré toutes les preuves sur les fausses allégations de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina lors de l’instruction du dossier. En son âme et conscience, elle n’a pas prononcé un non lieu.
  • Deux policiers emmènent le prévenu à la prison d’Antanimora ce soir là. L’investisseur cible de la spoliation a eu le temps de transmettre le nom d’utilisateur et le mot de passe des comptes e-mails au Comité de soutien  qui s’est constitué spontanément cette nuit là. L’investisseur a retrouvé la liberté le 15 décembre 2015, soit cinq mois après,
  • arret-854-premiere-instance RAMBELO Volatsinana, Magistrat, Vice-Président auprès du Tibunal de Première Instance d’Antananarivo, lors du procès du 7 décembre 2015 a condamné l’investisseur cible de la spoliation à deux ans de prison avec sursis et 1.500.000.000Ariary (un milliard 500 millions d’Ariary) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo Tsiriniaina. Le représentant du ministère Public, RASOAHANTA Elysée, Substitut, a été claire dans son réquisitoire en disant que les deux parties sont au courant de l’affaire et qu’il S’EN RAPPORTE à la décision du tribunal correctionnel. C’est la seule personne de la chaîne pénale qui a fait son travail.
    Le jugement le 15 décembre 2015 rendu n’est pas motivé alors qu’il est de principe que la culpabilité doit être fondée sur les éléments de preuve concrète justifiant l’élément matériel et l’élément moral constitutifs de l’infraction : c’est ce qu’on appelle LA JUSTIFICATION OBJECTIVE.
    Dans le cas d’espèce, les éléments ainsi que les suppositions de faits présentés à titre de preuve de la culpabilité de l’inculpé d’avoir commis des infractions suivies à son encontre ont été combattus par des faits contraires justifiés et étayés par des documents rééls notamment les termes du protocole d’accord  établi par le cabinet MCI et signés par les deux parties le 12 septembre 2012 , le contenu des emails échangés, entre autres celui du 4 mars 2009 envoyé par l’associé RANARISON Tsilavo Tsiriniaina (partie civile) et par lequel celui-ci demande l’émission d’une facture au nom de la société française de l’inculpé laissant ainsi apparaître que les factures qui seraient arguées de faux est l’oeuvre même de la partie civile ainsi que les décomptes effectués lors de la dissolution anticipée de la société qui ne font état d’aucun de fonds ou de biens sociaux, ni de faux et usage de faux documents de commerce par l’investisseur cible de la spoliation.
    La justification est résumée en cette phrase laconique  de RAMBELO Volatsinana, Magistrat, Vice-Président auprès du Tibunal de Première Instance d’Antananarivo : Que cette constitution de partie civile régulière en la forme et recevable, mais il paraît excessive quant à son quantum; que le tribunal possède des éléments suffisants d’appréciation pour le ramener à sa plus juste proportion. arret-854-premiere-instance.
  • arret-500-cour-dappel RANDRIARIMALALA Herinavalona, Président de Chambre à la Cour d’Appel assisté de RANDRIANARISOA Nini Albertine et RAMANNAKAVANA Sophie sont les Magistrats qui ont officié lors du procès en Appel du . BODONIAINA Veronique Laurette, Substitut Général représente le Ministère Public. Malgré la demande de dessaisissement d’une Cour à une autre déposée à la Cour de Cassation pour suspicion légitime, en leur âme et conscience, les magistrats ont non seulement jugé l’affaire mais également condamné  l’investisseur cible de la spoliation à deux ans de prison avec sursis et 1.500.000.000Ariary (un milliard 500 millions d’Ariary) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo Tsiriniaina.
    Les magistrats près de la Cour d’appel, bien que expérimentés, n’a fait que confirmer un jugement de première instance dont l’appréciation n’a pas été étayée. arret-500-cour-dappel
  • Un pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) a été déposé à Faravohitra, au Ministère de la Justice. Comme l’a bien dit le Premier ministre, dans son discours du 12 octobre 2016 lors de la célébration du XXème anniversaire de l’ENMG : « Heureusement, je dis bien heureusement  qu’il y a des juges intègres et expérimentés à Madagascar. »

Pour aller plus loin
Pour 2009, le montant des envois de la société EMERGENT à CONNECTIC prouvé par des EX1 est de 322.118 euros
Pour 2010, le montant des envois de la société EMERGENT à CONNECTIC prouvé par des EX1 est de 766.932 euros
Pour 2011, le montant des envois de la société EMERGENT à CONNECTIC prouvé par des EX1 est de 332.267 euros
Soit de 2009 à 2011, le montant des envois de la société EMERGENT en France à la société CONNECTIC à Madagascar appuyé par des bordereaux EX1 délivrés par la douane française est de 1.420.667 euros soit l’équivalent de  3.902.574.116 Ariary
(taux de change de 1 euro = 2747 ariary  et de 1 USD = 2080 ariary du 24 avril 2012, date prise lorsque RANARISON Tsilavo a reconnu que Solo a envoyé des équipements à CONNECTIC)
L’abus des biens sociaux dont on accuse Solo s’élève à 3.663.933.565 Ariary ($ 480.488,00 et 958.941,00 euros) dans la plainte de RANARISON Tsilavo du 20 juillet 2015

Communiquer pour se défendre

Des juristes et des blogueurs du monde entier nous ont aidé à gérer ce dossier et à trouver la riposte adéquate et proportionnée à chaque problème sans bourse déliée car on soutient une juste cause

  • Prenons le cas de CISCO qui prône à bout de champs la notion d’éthique à ses employés.Théoriquement lorsqu’il a dénoncé l’ICPA, en novembre 2012, les deux dirigeants de l’ancienne société ConnecTIC qui ont violé les accords ne peuvent plus être partenaire CISCO. Seulement deux semaines après , RANARISON Tsilavo Tsiriniaina a créé la société NEXTHOPE et est devenu partenaire CISCO à Madagascar et a récupéré la totalité des clients de son ancienne société ConnecTIC, malgré le protocole d’accord établi par le cabinet MCI, le 12 septembre 2012. Croyez vous qu’un cabinet d’avocat aussi sérieux que MCI a établi un protocole d’accord sans clause de non concurrence ?
    Il est vrai qu’entre temps presque la totalité des salariés grévistes de la société ConnecTIC a rejoint la société NEXTHOPE, y compris RAKOTOARISOA Lyna, déléguée du personnel et meneuse de de grève dans l’ancienne société ConnecTIC et RAHARISON Gisèle. Tous les deux cités comme témoins par RANARISON Tsilavo Tsiriniaina dans la tentative de spoliation.greve-1
    Au mois de novembre 2013, CISCO a établi une attestation qui dit qu’il ne connaît pas la société française qui vend des produits CISCO à sa filiale à Madagascar ConnecTIC. CISCO, une très grande boîte anglo-saxonne a bien le droit d’établir une attestation comme bon lui semble d’autant plus que cette attestattion dit vrai. Le distributeur WESTCON AFRICA – COMSTOR a facturé la société française qui a exporté les équipements à Madagascar.
    Il est établi 70 factures d’une valeur de $1 288.099,70 par la société WESTCON AFRICA – COMSTOR mais  rien ne l’oblige à établir cette attestation même si elle est nécessaire pour rétablir la vérité qui a déjà coûté à 5 mois d’emprisonnement à son ancien partenaire et le possible paiement de 1.500.000.000 d’Ariary de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo Tsiriniaina dirigeant de la société NEXTHOPE son nouveau partenaire. Que ne fait on pas dans ce monde cruel : « le Roi est mort, vive le Roi ! ». On raisonne en terme de business et non en terme d’image.
  • Depuis le début de l’année 2016, on a demandé à CISCO de nous intégrer comme partenaire CISCO à Madagascar comme CISCO l’a fait avec la société NEXTHOPE de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina. Le 19 mai 2016, NEXTHOPE et CISCO ont  organisé à Antananarivo comme CISCO et l’ancienne société ont organisé avant au Toit de Tana (Hôtel Hilton).

NOUS CHERCHONS DES JURISTES QUI PEUVENT NOUS CONSEILLER SUR CE POINT ET DES BLOGUEURS POUR RELAYER NOTRE DEMANDE

C’est ça la défense 2.0.

1 – Informer durablement

Ce blog sera une marque indélébile pour l’histoire du TIC, de la justice malgache et de la police économique à Madagascar. Le directeur d’une entreprise de TIC à Madagascar qui a créé un produit considéré par le journal Le monde du 18 août 2015 comme la fierté de l’île rouge était en mandat de dépôt à Antanimora le jour de la parution de l’article.

Une décision de justice rapide avec des preuves inventées de toutes pièces permet de spolier rapidement toute une vie de labeur à Madagascar et de marquer à vie psychiquement la cible.

Tous les noms des protagonistes seront publiés.

2 – Montrer que la police économique malgache est professionnelle

Le rapport de la police économique transmis au Parquet est impartial et professionnel. Il retranscrit fidèlement ce qui a été dit par les deux parties.conclusion-police-economique-cr.

En aucun moment dans  son rapport final, la   police économique n’a pas désigné l’investisseur cible de la spoliation comme coupable.

3 – Démontrer que la justice à Madagascar peut être intègre

Ancien membre de l’ordre des experts comptables et de la compagnie des commissaires aux comptes en France, l’investisseur cible de la spoliation entend faire passer le message suivant aux futurs investisseurs :  » la justice à Madagascar peut être intègre ». Si vous n’avez rien à se reprocher, on peut très bien faire affaire dans ce pays.

Il est vrai que dans cette affaire malgré le rapport de la police et l’explication de l’investisseur cible de la spoliation, RATSIMBAZAFY Roger, Premier substitut requiert le mandat de dépôt qui a été suivi par TAGNEVOZARA Hortense, le juge d’instruction. Comment va t-on trouver la vérité en détention ?

Toutes les demandes de LP (liberté provisoire) ont été refusées à l’investisseur cible de la spoliation. Heureusement, que toutes les preuves ont été stockées sur la messagerie gmail de Google at work.

La plainte avec demande d’arrestation a été envoyée directement par Maître Fredon Armand RATOVONDRAJAO, avocat de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina au Procureur Général de la Cour d’Appel au lieu du Procureur de la République ou d’un officier de police judiciaire ou d’un juge d’instruction.

Le seul salut possible pour ce dossier est la Cour Suprême avec le dépôt d’un pourvoi pour l’intérêt de la loi (PIL).

4 – Se poser la question sur l’esprit du corps d’une profession

On a posé une question très simple au commissaire aux comptes qui a certifié les comptes de la société de l’investisseur cible de la spoliation pour l’exercice 2011.

  • De confirmer ou d’infirmer si la mention suivante se trouve sur son rapport du commissariat aux comptes pour l’exercice 2011 « Qu’en effet, le commissaire au compte a signalé un recel et un détournement de biens sociaux effectués par SA, en comptabilisant directement dans son compte courant des ventes de l’exercice 2011 d’un montant de 1 623 321.99 Ariary, ainsi qu’une fraude fiscale et détournement en faisant apparaitre dans le compte courant de ce dernier des TVA non collectées et non déclarées de 2008 à 2010 d’un montant de 351 121 767.62 Ariary correspondant à des ventes de 2 106 730 605.72 Ariary de ces trois années « . ?
  • D’authentifier le rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels 2011 qui a été présenté à l’AGO des associés le 21 juin 2012. Les comptes annuels 2011 ont été approuvés à l’unanimité après lecture dudit rapport.

On a expliqué également le dossier au Président l’Ordre des experts comptables et financiers de Madagascar ainsi qu’au GEM et au Goticom.

Il y a tout de même cinq mois de mandat de dépôt dans cette affaire et des dommages et intérêts de l’ordre de 1.500.000.000 Ariary sans compter les 2 ans de prison avec sursis écopés par l’investisseur cible de la spoliation. On ne comprend pourquoi ça prend de temps de sortir un rapport de commissaire aux comptes.

5 – Trouver du financement

Il va falloir trouver du financement pour payer les honoraires des avocats conseils lorsqu’on portera à l’international cette affaire. Est ce que ce sera du type crowdfunding ? on attend vos propositions …

 – Expliquer ce qu’il faut faire

Ce blog est à l’usage de l’investisseur qui est déjà ou sera à Madagascar. Un pays plein de potentialités mais également de risques inhérents à tout investissement. Plusieurs blogs seront mis en ligne rédigés par le Comité de soutien.

Par un cas réel pratique documenté, le bloc relate le parcours d’un investisseur qu’on essaie de spolier, de dépouiller de tous ses biens à Madagascar. Toute chose à une FIN,

L’investisseur cible de la spoliation croit à la justice malgache.

RANARISON Tsiriniaina Tsilavo a déposé une plainte auprès du Procureur Général de la Cour d’Appel à Antananarivo, le 20 juillet 2015. Le 29 juillet 2015, le jour du départ en France de son ancien associé, l’investisseur  se retrouve à 20 heures ( renvoi-md-par-hortense-29-juillet-2015 ) à la maison d’arrêt d’Antanimora après qu’il ait refusé de signer un protocole d’accord proposé par le plaignant, RANARISON Tsiriniaina Tsilavo, qui pourra mettre fin à la plainte et il a  subi des séries d’interrogatoire alibi par le substitut RATSIMBAZAFY Roger et le juge d’instruction Hortense au Tribunal d’Anosy alors que son sort est déjà fixé d’avance à midi de ce jour par un ordre venant d’un « olom-be » (d’en haut).

Le problème qui se pose lors d’un mandat de dépôt à Madagascar est qu’on sait le jour, l’heure et la minute de son entrée à la maison d’arrêt d’Antanimora mais on ne saura jamais le jour, l’heure et la minute de sa sortie. Pendant la durée de votre incarcération, votre destin est entre les mains de tierce personne qui va faire toutes les démarches à votre place.

Heureusement qu’il y a Google et sa messagerie GMAIL, en transmettant le nom d’utilisateur et le mot de passe du compte employé à la tierce confiance, l’investisseur a pu prouver toutes ses dires. En parcourant sa messagerie, l’équipe de défense a pu trouver toutes les preuves adéquates.

Devant le substitut, RATSIMBAZAFY Roger, et le juge d’instruction, Hortense, à Anosy, le 29 juillet 2015, RANARISON Tsiriniaina Tsilavo a affirmé qu’on peut modifier le contenu de la messagerie Gmail

Actuellement, on a besoin des attestations de la société CISCO Systems et de la  société WESTCON AFRICA (le  grossiste des matériels CISCO). On les a déjà contacté plusieurs fois mais les deux sociétés ne nous ont pas répondu ou ont répondu partiellement alors que les attestations produites par la société CISCO Systems et la société WESTCON AFRICA sont les pierres angulaires de l’accusation et du jugement.

Le site est totalement transparent . Toutes les pièces seront donc mis en ligne. On va lancer une une sorte de défense et de médiatisation 2.0, Chaque internaute va apporter sa part dans l’éclosion de la vérité. Plusieurs interrogations  seront mis en ligne, on a besoin de votre aide pour qu’on ne tombe pas sur une erreur de procédure ou d’un procès en diffamation à la clé.

Notre idée : chacun consulte le dossier mis en ligne et  envoie sa contribution sur info@spoliation.org. Le site sera ainsi mis à jour au fur et à mesure.

Le délai entre le dépôt de plainte par l’avocat du plaignant et la mise en mandat de dépôt de l’opérateur est d’une dizaine de jours pour cette affaire. C’est le Procureur Général de la Cour d’Appel (PGCA) lui-même qui a géré l’affaire. Pourquoi le PGCA alors que c’est une affaire du Tribunal de Première Instance qui sied au Procureur de la République (PR) ?

De la plainte de l’avocat du plaignant aux pièces versées au dossier en passant par les témoins cités pendant le procès ne sont basés que sur du faux. On a plaidé en vain à Madagascar que le dossier est basé sur des faux mais les magistrats de première instance et de la Cour d’appel sont restés sourds .

La victime est très marquée par cette affaire (financièrement et mentalement), c’est pour cela que nous avons fait le pari que tôt ou tard, la justice, la vraie, soit rendue.

« Peu importe le temps qu’il nous faudra pour réparer ces injustices, nous, fort de notre droit, nous fraierons un chemin jusqu’à la victoire totale  » Roosevelt

Avec une cause juste, on essaiera de mobiliser un maximum de ressources sans bourse déliée.

Le 15 février 2017 ventes aux enchères des biens immobiliers de Solo par RANARISON Tsilavo de NEXTHOPE

Rendez vous est donné le 15 février 2017 à l’audience des criées du Tribunal de Première instance d’Antananarivo à 10 heures du matin, au Palais de justice, salle n°7.

C’est la cinquième tentative depuis la première tentative du 21 septembre 2016.Encore une tentative de RANARISON Tsilavo , gérant fondateur de NEXTHOPE de vendre aux enchères publiques les biens immobiliers de son ancien patron Solo. 

Cet avis à été disposé dans différents lieux d’Antananarivo d’après cet avis

 

C’est bizarre quand même car le pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) établit par le procureur général près de la Cour Suprême est sensé bloque, séance tenante toute velléité de vente de RANARISON Tsilavo pour récupérer les 1 milliard 500 millions d’ariary de dommages et intérêts que lui a octroyé la cour d’appel d’Antananarivo

En fait c’est tout Madagascar qui connaît cette histoire de vente aux enchères puisque qu’un avis a été publié au journal TARATRA du samedi 28 janvier 2018.

VENTES AUX ENCHERES PUBLIQUES SUR SAISIE IMMOBILIERE AU PLUS OFFRANT  ET DERNIER ENCHERISSEUR

(QUATRIEME REPORT)

 

LE MERCREDI QUINZE FEVRIER DEUX MILLE DIX SEPT (15 Février 2017) à partir de 10 Heures du matin

A l’audience des criées du Tribunal de Première Instance d’Antananarivo, au Palais de Justice, salle N°07 ;

Et en vertu :

1°)-De l’expédition du JUGEMENT CORRECTIONNELLE N° 854-FD /MaS2, en date du 15 Décembre 2015, rendu par le Tribunal de Première Instance d’Antananarivo ;

2°)-De la Grosse dûment en forme exécutoire de l’ARRET N°500 en date du 13 Mai 2016, rendue par la Cour d’appel d’Antananarivo qui confirme le jugement n° 854-FD /MaS2 du 15 Décembre 2015

3°)-De l’acte « SIGNIFICATION COMMANDEMENT AUX FINS DE SAISIE IMMOBILIERE » en date du 01 juillet 2016, servie par Maître RABEARISO Ndandison, Huissier à Antananarivo, ledit commandement étant visé et inscrit au Bureau de la Conservation Foncière d’Antananarivo-Avarandrano, le 04 Juillet 2016 ;

Et à la requête Monsieur RANARISON TsiriniainaTsilavo, demeurant actuellement au lot II J 139 AmbohijatovoIvandry Antanarivo, y élisant domicile ;

 

                                                                       CONTRE :

Monsieur XXX Solo ZZZ, demeurant au Lot 64, Rue Pasteur Rabary, Ankadivato Antananarivo ;

Il sera procédé à la VENTE AUX ENCHERES PUBLIQUES, AU PLUS OFFRANT ET DERNIER ENCHERISSEUR des propriétés ci-dessous :

A/ « IRIANTSOA A » titre n°ZZZZ, sise à Tsarahonenana,Fokontany dudit, Commune Rurale de TalataVolonondry, DistrictAntananarivo Avaradrano, d’une superficie de 58 Ares 75 Centiares (58 A 75 Ca) :

  • MISE A PRIX DE: CENT SOIXANTE SEIZE  MILLIONS ARIARY (176 000 000 Ariary).

B/« CISCO SYSTEMS » titre n°YYYY, sise à Mahazana, Fokontany d’Ambohimailala Commune Rurale d’AnkadikelyIlafy, District Antananarivo Avaradrano, d’une superficie de, de 01Ha 65 Ares (01Ha65 A) :

  • MISE A PRIX DE:QUATRE CENT QUATRE VINGT QUINZE MILLIONS ARIARY (495 000 000 Ariary).

Le cahier des charges a été rédigé et déposé le 09 Août 2016 au Greffe du Tribunal de Première Instance d’Antananarivo qui donnera tous renseignements utiles.

 

Antananarivo, le 25 Janvier 2017

L’Huissier instrumentaire

VENTES AUX ENCHERES PUBLIQUES SUR SAISIE IMMOBILIERE AU PLUS OFFRANT  ET DERNIER ENCHERISSEUR

(QUATRIEME REPORT)

 

LE MERCREDI QUINZE FEVRIER DEUX MILLE DIX SEPT (15 Février 2017) à partir de 10 Heures du matin

 

A l’audience des criées du Tribunal de Première Instance d’Antananarivo, au Palais de Justice, salle N°07 ;

 

Et en vertu :

1°)-De l’expédition du JUGEMENT CORRECTIONNELLE N° 854-FD /MaS2, en date du 15 Décembre 2015, rendu par le Tribunal de Première Instance d’Antananarivo ;

2°)-De la Grosse dûment en forme exécutoire de l’ARRET N°500 en date du 13 Mai 2016, rendue par la Cour d’appel d’Antananarivo qui confirme le jugement n° 854-FD /MaS2 du 15 Décembre 2015

3°)-De l’acte « SIGNIFICATION COMMANDEMENT AUX FINS DE SAISIE IMMOBILIERE » en date du 20 juin  2016, servie par Maître RABEARISO Ndandison, Huissier à Antananarivo, ledit commandement étant visé et inscrit au Bureau de la Conservation Foncière d’Antananarivo Ville, le 21 Juin 2016 pour lez propriétés dites « HENRI JOSE » et « HELOISE » et au Bureau de la Conservation Foncière d’Antanarivo-Avaradrano, le 04 Juillet , pour la propriété dite « TOSCAN B ».

Et à la requête Monsieur RANARISON TsiriniainaTsilavo, demeurant actuellement au lot II J 139AmbohijatovoIvandry Antanarivo, y élisant domicile ;

CONTRE :

Monsieur XXXX NIVO Solo ZZZ, demeurant au Lot 64, Rue Pasteur Rabary, Ankadivato Antananarivo ;

Il sera procédé à la VENTE AUX ENCHERES PUBLIQUES, AU PLUS OFFRANT ET DERNIER ENCHERISSEUR des propriétés ci-dessous :

A/ « HENRI JOSE » titre n°AAAA, sise à Ankadivato, canton deFaravohitra , Tananarive Ville, d’une superficie de 06 Ares 86 Centiares(06 A 86 Ca) :

  • MISE A PRIX DE:QUATRE CENT CINQ MILLIONS ARIARY (405 000000 Ariary).

B/« HELOISE » titre n°WWWW, sise à Ankadivato, canton de Faravohitra, Tananarive Ville, d’une superficie de 07 Ares 32 Centiares (07 A32 Ca) :

  • MISE A PRIX DE:CENT QUATRE VINGT DIX MILLIONS ARIARY(190 000000 Ariary).

C/ « TOSCAN B » titre n°ZZZZ, sise à AnkadikelyIlafy, Fokontany dudit, Commune Rurale d’AnkadikelyIlafy, Districr d’AntananrivoAvaradrano, d’une superficie de 11 Ares 20 Centiares (11 A  20 Ca) :

  • MISE A PRIX DE:QUARANTE QUATRE MILLIONS HUIT CENT MILLE ARIARY(44 800000 Ariary).

Le cahier des charges a été rédigé et déposé le 09 Août 2016 au Greffe du Tribunal de Première Instance d’Antananarivo qui donnera tous renseignements utiles.

 

Antananarivo, le 25 Janvier 2017

L’Huissier instrumentaire

 

 

 

NEXTHOPE et HP main dans la main contre les produits gris pour vendre encore plus cher à Madagascar

Un serveur HP ou un autre produit produit de marque HP n’est qu’un équipement. Ce qui est important est l’application qu’on va installer dans ce serveur HP ainsi que la garantie qui va avec. RANARISON Tsilavo, le gérant fondateur de la société NEXTHOPE qui a réussi à mettre en mandat de dépôt à Antanimora pendant 5 mois son ancien associé Solo , devient le porte fanion de la légalité à Madagascar. ça prête à sourire lorsqu’on arrive à mettre en prison son associé sans preuve.

Un produit informatique de marque CISCO  ou HP acheté à Dubaî ou au Brésil ou à Hong Kong est largement moins cher qu’un produit acheté par le canal informatique agréé local.  Le marché gris  ou grey market voit s’échanger des biens par des canaux de distribution qui, s’ils sont légaux, ne sont pas autorisés par le fabricant . En achetant  à Dubaî ou au Brésil ou à Hong Kong, le revendeur informatique malgache peut acheter moins cher le même produit, la loi de la concurrence oblige dans ces pays.

Pour la faire simple, le marché des produits gris (grey market) est un marché en parallèle du marché normal, celui qui passe  par les distributeurs agréés. Le marché gris n’est pas qualifié de marché noir  car il n’échappe pas aux réglementations des pays.
Le principe des reventes par des partenaires agréés est simple : les marques, CISCO ou HP, font signer des accords à leurs distributeurs dans les différents pays de la planète afin de leur imposer un certain nombre de choses, au nombre desquelles une visibilité pour leurs produits, un certain standing pour le point de ventes, des volumes minimum, un assortiment minimum), des exclusivités par rapport à d’autres marques, en l’échange de quoi, les marques fournissent un certain niveau de remise.

Maintenant, les marges que les revendeurs font sur les produits de technologie sont presque imposées par les marques. Certains revendeurs peuvent avoir du mal à respecter les volumes minimum imposés par les marques.
Du coup, certains autres revendeurs, non agréés eux, et dont la stratégie est de faire du volume au détriment de la marge, leur rachètent leurs stocks et les écoulent au prix qu’ils veulent, sans être membres du réseau de distribution agréé. C’est le marché Gris.
Enfin, les différences de prix public sur des marchés assez proches géographiquement peuvent encourager des revendeurs agréés à exporter très légalement (d’où le fait que ce ne soit pas du marché noir) mais contre les accords signés avec les marques (d’où le marché Gris) vers des pays voisins où les prix « imposés » par les marques sont plus élevés que dans leur propre pays, réalisant au passage une marge plus faible que s’ils avaient vendu les montres à des clients finaux, mais sur des volumes plus importants, et avec moins d’effort commercial.

Bien entendu, les marques font la chasse à ces circuits parallèles car cela les gène dans leur politique de distribution (qui consiste à s’octroyer des marges différentes selon les marchés vers lesquelles elles exportent pour que les prix finaux soient adaptés au niveau de vie du pays) et la sanction est le retrait de l’autorisation officielle de distribuer leurs produits.

Donc, l’achat d’un serveur ou d’un routeur au marché gris ne présente pas le moindre caractère illégal. Acheter un serveur ou un routeur au marché gris n’expose à aucun risque, ni son vendeur (pour peu qu’il soit en règle avec les lois du pays où il exerce son activité, mais ce n’est pas le problème de l’acheteur) car il a acquis le serveur ou le routeurlégalement, ni son acheteur pour les mêmes raisons.

Le marché gris  ou grey market voit s’échanger des biens par des canaux de distribution qui, s’ils sont légaux, ne sont pas autorisés par le fabricant . En achetant  à Dubaî ou au Brésil ou à Hong Kong, le revendeur informatique malgache peut acheter moins cher le même produit, la loi de la concurrence oblige dans ces pays.
RANARISON Tsilavo, le gérant fondateur de la société NEXTHOPE qui a réussi à mettre en mandat de dépôt à Antanimora pendant 5 mois son ancien associé Solo , devient le porte fanion de la légalité à Madagascar.

RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE, dit lors du procès au tribunal correctionnel du 8 décembre 2015

RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE, dit lors du procès au tribunal correctionnel du 8 décembre 2015

  •  ignorer ce que fait Solo des virements internationaux qui ont été envoyés à Solo
  • et RANARISON Tsilavo de rajouter qu’il a seulement reçu des ordres à propos des factures CISCO.
    C’est acté dans le plumitif du 19 janvier 2016 qui rend compte de  ce qui a été dit lors du procès du 8 décembre 2015. On ne l’a pas inventé.

« – Ireo vola izay afaran’i P (Prévenu = Solo) dia tsy fantatra izay anaovany azy
– Ordre no azoko momba io facture Cisco io »
– On ne sait pas des fonds que le prévenu demande
– J’ai reçu des ordres sur cette facture CISCO

Les virements ont servi à régler les achats de CONNECTIC comme RANARISON Tsilavo a lui même reconnu le 25 avril 2012.

RANARISON Tsilavo en établissant les comptes au 25 avril 2012 et on a montré et expliqué ce dossier lors du déferrement au substitut RATSIMBAZAFY Roger, pendant l’instruction au juge TAGNEVOZARA Hortense et  pendant le procès avec le récapitulatif établi par le plaignant lui-même.

L’email gmail de RANARISON Tsilavo du 25 avril 2012 a été authentifié par un huissier malgache et un huissier français,

il n’y aucune doute là dessus. On a le récapitulatif des envois de Solo à la société CONNECTIC authentifié par un huissier à Madagascar (Récapitulatif annuel des achats des équipements effectués par Mr Solo authentifié par le Huissier DAVID ci-dessous)   et en France (le même Récapitulatif annuel des achats des équipements effectués par Mr Solo authentifié par le HuissierNAM ci-dessus) .

C’est RANARISON Tsilavo lui même qui a établi le récapitulatif du 25 avril 2012 et ce sont le corps de l’email et les fichiers attachés qui ont été authentifiés.

Heureusement que c’est un email Gmail inviolable car sinon RANARISON a commencé a semé les doutes de la chaîne pénale en disant que Solo peut  modifier les contenus des emails car il est l’administrateur des serveurs d’emails.

Lorsqu’il dit qu’il a reçu de l’ordre pour émettre des factures CISCO,

on va lui rafraîchir son mémoire avec cet extrait de son email du 3 mars 2009 qui dit

« je fais la facture de suite
20 000 € de IOS »

l’IOS pour les profanes est la licence CISCO. C’est RANARISON Tsilavo qui a fabriqué les factures supposées dites fausses par Solo et en plus il a le culot de demander à la Société CISCO de certifier si oui ou non EMERGENT peut vendre des licences.

RANARISON est l’auteur des factures et c’est lui-même qui attribue comme libellé de la facture lemot  » IOS » et qui ose après écrire à CISCO si EMERGENT a le droit de vendre des IOS. Pire que le petit Poucet en mal qui laisse des traces partout et essayer de manipuler à tout va.

Solo dit tout haut au tribunal  : « je prends comme honneur le fait d’avoir été  emprisonné »

Lors de son procès à son sens unique du 8 décembre 2015, Solo a dit tout haut et c’est acté dans le plumitif  :  » je prends comme honneur d’avoir été emprisonné ». car il ne faut pas oublier que Solo a déjà passé 5 mois de détention à Antanimora  pour éviter qu’il puisse se défendre normalement.

On ne cède pas au chantage et il faut que ça soit dit haut et fort et en public

« Amiko dia raisiko trophée ny nidirako am-ponja »

On ne va pas tout de même accepter l’injustice en se laissant dépouiller sans rien dire.

L’extrait du plumitif du 19 janvier 2016 pour éviter toute manipulation

Chacun peut donc juger également que dans un dossier où Solo a donné toutes les explications au juge  et le juge a été  capable de dire qu’il a toutes les preuves de la culpabilité de Solo.
Il faut vraiment oser pour condamner Solo à 2 ans de prison avec sursis et 1,5 milliards de dommages et intérêts à payer à RANARISON Tsilavo.

On ne va pas tout de même accepter l’injustice en se laissant dépouiller sans rien dire dans un procès à charge en sens unique

La justice à Madagascar c’est comme la Sainte Vierge. Si on la voit pas de temps en temps, le doute s’installe

Cette célèbre réplique est d’Audiart dans le film « Pile ou face » est valable pour ce dossier hors normes de Madagascar. Comment se fait il qu’une plainte  pour intrusion informatique et écoute téléphonique à Madagascar, chez CONNECTIC,  se termine par la mise en mandat de dépôt du plaignant, de Solo patron de CONNECTIC, pendant cinq mois à Antanimora puis après sa  condamnation en première instance puis en appel à 2 ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 d’Ariary (1 milliard 500 millions) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, ancien directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012.

Solo porte plainte pour intrusion informatique, l’affaire est jugée en appel à Antananarivo en juillet 2015 et sans crier gare, Solo a été mis en mandat de dépôt pendant cinq mois à Antanimora trois semaines après avec par pur hasard les acteurs de l’intrusion information en rôle principal ou en tant que témoins, notamment RAHARISON Gisèle et RAKOTOARISOA Lyna. On peut s’attendre à tout à Madagascar, mais avoir le culot et oser faire cette tour de magie nous laisse dubitatif.

Ainsi quatre fois, avec des preuves en main, la justice malgache a sorti des des des jugements sans fondement. La justice malgache  ?  Il ne faut pas surtout exagérer et faire une généralisation  ; ce sont plutôt le tribunal de première instance d’Antananarivo et la Cour d’Appel d’Antananarivo. La Cour Suprême de Madagascar a fait une requête pour pourvoi dans l’intérêt de la loi  le 20 septembre 2016.qui supend toute la procédure.

Pour le procès de l’intrusion informatique et écoute téléphonique, malgré les preuves, les personnes  qui ont été poursuivies par le Doyen des Juges d’instruction  par ordonnance de renvoi au Tribunal ont bénéficié du bénéfice de doute en première instance et en appel, alors que l’appel a été effectué par le Ministère public lui même et qui a bénéficié du revirement du Ministère public lors de l’audience : l’avocat général est devenu l’avocat des poursuivis. Il faut avoir vu et entendre pour y croire. Ainsi RAHARISON Gisèle le contact de DATALINK ,propriétaire de l’adresse IP qui a permis d’entrer dans le système informatique de CONNECTIC, ancien salariée gréviste de CONNECTIC ainsi que ANDRIANARIVO Antra, ancien gréviste de CONNECTIC puis salarié de DATALINK et de DATALINK ont bénéficié le bénéfice de doute. SOIENT deux jugement de relaxe alors que l’enquête a été mené par le Doyen des juges lui même.
Même chose pour la plainte avec demande d’arrestation de RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, avec des fausses allégations, il a réussi à mettre Solo en mandat de dépôt à Antanimora pendant cinq mois, toutes les demandes de liberté provisoire (LP) ont été refusées pour enlever ainsi à Solo la possibilité de défendre puisqu’il a été arrêté le jour de son départ en France pour rejoindre sa famille. Le procès en première instance et en appel se soldent par la condamnation de Solo à deux ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 d’Ariary (1 milliard 500 millions) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE. La condamnation de première instance n’est pas assortie de motifs, celle de la Cour d’Appel d’un motif qui contredit la traduction en française de l’attestation produite par RANARISON Tsilavo provenant de CISCO. Il n’est pas normal que les magistrats de la Cour d’appel d’Antananarivo n’ont pas demandé le traduction hors normes de cette attestation.

Heureusement qu’il y a la Cour Suprême de Madagascar qui a donné raison à Solo en faisant une requête de Pourvoi dans l’intérêt de loi (PIL) le 20 septembre 2016.

La réplique d’Audiard a toute sa place « La justice c’est comme la Sainte Vierge. Si on la voit pas de temps en temps, le doute s’installe. » Dans ce dossier, tout le monde est d’accord qu’il se passe des choses innommables à la Cour d’appel d’Antananarivo. On va essayer de faire une chronique à travers ce blog.

Trouvez vous normal qu’une personne qui a fait l’objet d’un délit, celui qui a porté plainte pour intrusion informatique se retrouve en mandat de dépôt pendant 5 mois à Antanimora et condamné 2 ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 d’Ariary (1 milliard 500 millions) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE.

 

 

RANARISON Tsilavo dit le 3 mars 2009 « je fais la facture de suite 20 000€ de IOS  » donc il ne peut pas nier que c’est lui qui a établi les factures des produits CISCO

Le 3 mars 2009, RANARISON Tsilavo envoie un email à Solo qui dit :
« je fais de suite
20 000 € de IOS »

C’est sans équivoque cet email de RANARISON Tsilavo directeur exécutif de CONNECTIC du 3 mars 2009 envoyé à Solo :
– l’email a été envoyé et reçu du GMAIL de GOOGLE , la référence en la matière,
– Un IOS est la licence ou logiciel à télécharger de CISCO,
– « je » veut dire « moi », comme l’expéditeur est RANARISON Tsilavo, il ne peut donc s’agir que de lui, RANARISON Tsilavo,
– « je fais la facture », donc c’est lui RANARISON Tsilavo qui va faire une facture au nom de EMERGENT nécessaire au virement international à CONNECTIC.
– Quoi d’autre comme preuve pour dire que c’est n’est pas Solo qui a fait des fausses factures,

 

C’est RANARISON Tsilavo lui-même qui a établi les factures des produits CISCO, base de la motivation de la plainte pour faux et usage de faux

« Qu’ainsi, les factures établies par la société EMERGENT sur la base des produits CISCO sont réputées fausses » : motivation de la cour d’appel d’Antananarivo

 

RANARISON Tsilavo a essayé de dire auprès du juge d’instruction ainsi que lors du procès qu’il est capable de modifier ou qu’on peut modifier un email.

Peut être que les emails qui sont hébergés par NEXTHOPE dont il est le gérant fondateur peut être modifié  comme il le dit lui même.

D’autant plus que NEXTHOPE est partenaire VMWARE, NETAPP, EMS, ODOO, en gros tous les acteurs majeurs des systèmes hébergés.

Que ne fait on pas pour mettre en mandat de dépôt pendant 5 mois son patron ?

On nous dit que c’est une pratique très courante  à Madagascar de se faire accaparer sa société par les employés.

Et après on va claironner partout que c’est du succes story de l’Inscae.