Communiquer pour se défendre

Des juristes et des blogueurs du monde entier nous ont aidé à gérer ce dossier et à trouver la riposte adéquate et proportionnée à chaque problème sans bourse déliée car on soutient une juste cause

  • Prenons le cas de CISCO qui prône à bout de champs la notion d’éthique à ses employés.Théoriquement lorsqu’il a dénoncé l’ICPA, en novembre 2012, les deux dirigeants de l’ancienne société ConnecTIC qui ont violé les accords ne peuvent plus être partenaire CISCO. Seulement deux semaines après , RANARISON Tsilavo Tsiriniaina a créé la société NEXTHOPE et est devenu partenaire CISCO à Madagascar et a récupéré la totalité des clients de son ancienne société ConnecTIC, malgré le protocole d’accord établi par le cabinet MCI, le 12 septembre 2012. Croyez vous qu’un cabinet d’avocat aussi sérieux que MCI a établi un protocole d’accord sans clause de non concurrence ?
    Il est vrai qu’entre temps presque la totalité des salariés grévistes de la société ConnecTIC a rejoint la société NEXTHOPE, y compris RAKOTOARISOA Lyna, déléguée du personnel et meneuse de de grève dans l’ancienne société ConnecTIC et RAHARISON Gisèle. Tous les deux cités comme témoins par RANARISON Tsilavo Tsiriniaina dans la tentative de spoliation.greve-1
    Au mois de novembre 2013, CISCO a établi une attestation qui dit qu’il ne connaît pas la société française qui vend des produits CISCO à sa filiale à Madagascar ConnecTIC. CISCO, une très grande boîte anglo-saxonne a bien le droit d’établir une attestation comme bon lui semble d’autant plus que cette attestattion dit vrai. Le distributeur WESTCON AFRICA – COMSTOR a facturé la société française qui a exporté les équipements à Madagascar.
    Il est établi 70 factures d’une valeur de $1 288.099,70 par la société WESTCON AFRICA – COMSTOR mais  rien ne l’oblige à établir cette attestation même si elle est nécessaire pour rétablir la vérité qui a déjà coûté à 5 mois d’emprisonnement à son ancien partenaire et le possible paiement de 1.500.000.000 d’Ariary de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo Tsiriniaina dirigeant de la société NEXTHOPE son nouveau partenaire. Que ne fait on pas dans ce monde cruel : « le Roi est mort, vive le Roi ! ». On raisonne en terme de business et non en terme d’image.
  • Depuis le début de l’année 2016, on a demandé à CISCO de nous intégrer comme partenaire CISCO à Madagascar comme CISCO l’a fait avec la société NEXTHOPE de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina. Le 19 mai 2016, NEXTHOPE et CISCO ont  organisé à Antananarivo comme CISCO et l’ancienne société ont organisé avant au Toit de Tana (Hôtel Hilton).

NOUS CHERCHONS DES JURISTES QUI PEUVENT NOUS CONSEILLER SUR CE POINT ET DES BLOGUEURS POUR RELAYER NOTRE DEMANDE

C’est ça la défense 2.0.

1 – Informer durablement

Ce blog sera une marque indélébile pour l’histoire du TIC, de la justice malgache et de la police économique à Madagascar. Le directeur d’une entreprise de TIC à Madagascar qui a créé un produit considéré par le journal Le monde du 18 août 2015 comme la fierté de l’île rouge était en mandat de dépôt à Antanimora le jour de la parution de l’article.

Une décision de justice rapide avec des preuves inventées de toutes pièces permet de spolier rapidement toute une vie de labeur à Madagascar et de marquer à vie psychiquement la cible.

Tous les noms des protagonistes seront publiés.

2 – Montrer que la police économique malgache est professionnelle

Le rapport de la police économique transmis au Parquet est impartial et professionnel. Il retranscrit fidèlement ce qui a été dit par les deux parties.conclusion-police-economique-cr.

En aucun moment dans  son rapport final, la   police économique n’a pas désigné l’investisseur cible de la spoliation comme coupable.

3 – Démontrer que la justice à Madagascar peut être intègre

Ancien membre de l’ordre des experts comptables et de la compagnie des commissaires aux comptes en France, l’investisseur cible de la spoliation entend faire passer le message suivant aux futurs investisseurs :  » la justice à Madagascar peut être intègre ». Si vous n’avez rien à se reprocher, on peut très bien faire affaire dans ce pays.

Il est vrai que dans cette affaire malgré le rapport de la police et l’explication de l’investisseur cible de la spoliation, RATSIMBAZAFY Roger, Premier substitut requiert le mandat de dépôt qui a été suivi par TAGNEVOZARA Hortense, le juge d’instruction. Comment va t-on trouver la vérité en détention ?

Toutes les demandes de LP (liberté provisoire) ont été refusées à l’investisseur cible de la spoliation. Heureusement, que toutes les preuves ont été stockées sur la messagerie gmail de Google at work.

La plainte avec demande d’arrestation a été envoyée directement par Maître Fredon Armand RATOVONDRAJAO, avocat de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina au Procureur Général de la Cour d’Appel au lieu du Procureur de la République ou d’un officier de police judiciaire ou d’un juge d’instruction.

Le seul salut possible pour ce dossier est la Cour Suprême avec le dépôt d’un pourvoi pour l’intérêt de la loi (PIL).

4 – Se poser la question sur l’esprit du corps d’une profession

On a posé une question très simple au commissaire aux comptes qui a certifié les comptes de la société de l’investisseur cible de la spoliation pour l’exercice 2011.

  • De confirmer ou d’infirmer si la mention suivante se trouve sur son rapport du commissariat aux comptes pour l’exercice 2011 « Qu’en effet, le commissaire au compte a signalé un recel et un détournement de biens sociaux effectués par SA, en comptabilisant directement dans son compte courant des ventes de l’exercice 2011 d’un montant de 1 623 321.99 Ariary, ainsi qu’une fraude fiscale et détournement en faisant apparaitre dans le compte courant de ce dernier des TVA non collectées et non déclarées de 2008 à 2010 d’un montant de 351 121 767.62 Ariary correspondant à des ventes de 2 106 730 605.72 Ariary de ces trois années « . ?
  • D’authentifier le rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels 2011 qui a été présenté à l’AGO des associés le 21 juin 2012. Les comptes annuels 2011 ont été approuvés à l’unanimité après lecture dudit rapport.

On a expliqué également le dossier au Président l’Ordre des experts comptables et financiers de Madagascar ainsi qu’au GEM et au Goticom.

Il y a tout de même cinq mois de mandat de dépôt dans cette affaire et des dommages et intérêts de l’ordre de 1.500.000.000 Ariary sans compter les 2 ans de prison avec sursis écopés par l’investisseur cible de la spoliation. On ne comprend pourquoi ça prend de temps de sortir un rapport de commissaire aux comptes.

5 – Trouver du financement

Il va falloir trouver du financement pour payer les honoraires des avocats conseils lorsqu’on portera à l’international cette affaire. Est ce que ce sera du type crowdfunding ? on attend vos propositions …

 – Expliquer ce qu’il faut faire

Ce blog est à l’usage de l’investisseur qui est déjà ou sera à Madagascar. Un pays plein de potentialités mais également de risques inhérents à tout investissement. Plusieurs blogs seront mis en ligne rédigés par le Comité de soutien.

Par un cas réel pratique documenté, le bloc relate le parcours d’un investisseur qu’on essaie de spolier, de dépouiller de tous ses biens à Madagascar. Toute chose à une FIN,

L’investisseur cible de la spoliation croit à la justice malgache.

RANARISON Tsiriniaina Tsilavo a déposé une plainte auprès du Procureur Général de la Cour d’Appel à Antananarivo, le 20 juillet 2015. Le 29 juillet 2015, le jour du départ en France de son ancien associé, l’investisseur  se retrouve à 20 heures ( renvoi-md-par-hortense-29-juillet-2015 ) à la maison d’arrêt d’Antanimora après qu’il ait refusé de signer un protocole d’accord proposé par le plaignant, RANARISON Tsiriniaina Tsilavo, qui pourra mettre fin à la plainte et il a  subi des séries d’interrogatoire alibi par le substitut RATSIMBAZAFY Roger et le juge d’instruction Hortense au Tribunal d’Anosy alors que son sort est déjà fixé d’avance à midi de ce jour par un ordre venant d’un « olom-be » (d’en haut).

Le problème qui se pose lors d’un mandat de dépôt à Madagascar est qu’on sait le jour, l’heure et la minute de son entrée à la maison d’arrêt d’Antanimora mais on ne saura jamais le jour, l’heure et la minute de sa sortie. Pendant la durée de votre incarcération, votre destin est entre les mains de tierce personne qui va faire toutes les démarches à votre place.

Heureusement qu’il y a Google et sa messagerie GMAIL, en transmettant le nom d’utilisateur et le mot de passe du compte employé à la tierce confiance, l’investisseur a pu prouver toutes ses dires. En parcourant sa messagerie, l’équipe de défense a pu trouver toutes les preuves adéquates.

Devant le substitut, RATSIMBAZAFY Roger, et le juge d’instruction, Hortense, à Anosy, le 29 juillet 2015, RANARISON Tsiriniaina Tsilavo a affirmé qu’on peut modifier le contenu de la messagerie Gmail

Actuellement, on a besoin des attestations de la société CISCO Systems et de la  société WESTCON AFRICA (le  grossiste des matériels CISCO). On les a déjà contacté plusieurs fois mais les deux sociétés ne nous ont pas répondu ou ont répondu partiellement alors que les attestations produites par la société CISCO Systems et la société WESTCON AFRICA sont les pierres angulaires de l’accusation et du jugement.

Le site est totalement transparent . Toutes les pièces seront donc mis en ligne. On va lancer une une sorte de défense et de médiatisation 2.0, Chaque internaute va apporter sa part dans l’éclosion de la vérité. Plusieurs interrogations  seront mis en ligne, on a besoin de votre aide pour qu’on ne tombe pas sur une erreur de procédure ou d’un procès en diffamation à la clé.

Notre idée : chacun consulte le dossier mis en ligne et  envoie sa contribution sur info@spoliation.org. Le site sera ainsi mis à jour au fur et à mesure.

Le délai entre le dépôt de plainte par l’avocat du plaignant et la mise en mandat de dépôt de l’opérateur est d’une dizaine de jours pour cette affaire. C’est le Procureur Général de la Cour d’Appel (PGCA) lui-même qui a géré l’affaire. Pourquoi le PGCA alors que c’est une affaire du Tribunal de Première Instance qui sied au Procureur de la République (PR) ?

De la plainte de l’avocat du plaignant aux pièces versées au dossier en passant par les témoins cités pendant le procès ne sont basés que sur du faux. On a plaidé en vain à Madagascar que le dossier est basé sur des faux mais les magistrats de première instance et de la Cour d’appel sont restés sourds .

La victime est très marquée par cette affaire (financièrement et mentalement), c’est pour cela que nous avons fait le pari que tôt ou tard, la justice, la vraie, soit rendue.

« Peu importe le temps qu’il nous faudra pour réparer ces injustices, nous, fort de notre droit, nous fraierons un chemin jusqu’à la victoire totale  » Roosevelt

Avec une cause juste, on essaiera de mobiliser un maximum de ressources sans bourse déliée.